Le devoir de mémoire est un risque. Qui mérite, certes, qu’on le tente, sous réserve qu’on y réfléchisse.

Pour Bruno

Je suggère sur ce sujet une réflexion en trois points. Le premier tente de dégager l’argument en faveur de la mémoire, le second s’attache à montrer les abus de la mémoire, et le troisième retient deux conséquences qu’un devoir de mémoire de la Shoah tel qu’il est préconisé peut produire sur un enfant de dix ans.

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