Fauteurs de troubles ou facteurs de paix, les religions ?

Il y a de quoi s'émouvoir devant la proliféreration des conflits et des drames sur la planète. Il y a de quoi s'étonner aussi, surtout depuis qu'au coeur de l'hiver 1989-1990, Berlin et Bucarest parachevaient l'agonie de l'Empire communiste. Ne croyait-on pas que la fin de la guerre froide allait lever les entraves à la coopération internationale, déboucher sur une extension de l'économie de marché, et enrichir encore un peu plus.

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