Pour Jean-Claude et Marie-Jo Ghisgant, en hommage amical
Au seuil de l’An Mil, les grands ordres monastiques sont puissants. Car pour les gens, les moines sont des interprètes infaillibles de la volonté divine. Ils savent. Ils éduquent. Ils dirigent les consciences, condamnent, excluent. Leur influence politique s’étend alors sur la France, l’Europe de l’Est, la Scandinavie, et jusqu’en Terre Sainte.